Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Sous les couvertures
29 janvier 2011

Y'a des bas...

En ce début d'année, j'ai pris de bonnes résolutions notemment celle de mener à bien les chalenges auxquels je suis inscrite...

J'ai donc choisi de renouer avec Brussolo grâce au challenge de Books 2 heaven.

3_place_de_byzance

Serge Brussolo
3 place de Byzance
Denoël
2002

Autant l'avouer tout de suite, ce n'est pass un Brussolo inoubliable.

En 1920, Jules Massart, veuf, veille sur son empire du 3 pace de Byzance. Il en explore inlassablement chaque recoin, chaque couloir et accumule les rencontres avec des locataires plus excentriques les uns que les autres.
C'est dans cet athmosphère étrange que grandissent Jean-Lou et Judith, ses jumeaux.

Je n'ai été sensible ni à l'ambiance, ni aux personnages et je me suis grandement ennuyée à explorer le dédale de cet immeuble parisien.
J'ai beaucoup aimé en revanche le parallèle entre la montée du fascisme et le rétrécissement de l'immeuble.

Brussolo écrit sans plan préalable et cela finit par se sentir. Les changements incessants de personnage principal m'ont empêché de m'attacher à eux. Le fantastique m'a semblé lointain et plaqué. Les péripéties de l'intrigue, parfois invraisemblables, souvent sans intérêt ont émoussé mon intérêt. Je n'ai pas retrouvé le souffle brussolien que j'aime tant. Ce sera pour le suivant sûrement...

challenge_serge_brussolo

Publicité
Commentaires
L
J'ai lu deux romans de Brussolo, et j'avais aimé les deux. Je ne sais pas si, par contre, je me dirigerais vers celui-ci.
C
@ Fantasio : Peut-être serons nous d'accord sur le suivant ...
F
Tiens, c'est curieux. Je l'avais bien aimé ce roman moi... <br /> Il est assez atypique, en effet, dans l'oeuvre de Brussolo. Par contre, je suis tout à fait d'accord avec toi. Il est évident que Brussolo écrit sans plan préparé au préalable et on a parfois le sentiment qu'il se perd parfois dans sa propre histoire et qu'il lui faut recourir à des acrobaties littéraires pour arriver à retomber sur ses pieds. C'est sans doute la raison de ses épilogues abrupts ou tirés par les cheveux.
M
J'en avais lu un dans ma jeunesse mais cet auteur ne m'attire plus des masses.
Sous les couvertures
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Publicité